Puisque nos yeux sont remplis de pluie Que le ciel nous a versé la vie Puisque de Nantes jusqu'à Paris C'est la mer qui manque à nos grands lits
Puisqu'il faut que notre bougie s'éteigne Aux souvenirs des nuits passées de trop Puisqu'il faut que nos bras nous étreignent Qu'on se tienne l'un à l'autre mais pas trop
Nous remettrons nos voiles au vent Nous reprendrons les vagues, le temps Quand nos mains nous diront Que nos doigts s'emmêleront
Puisque ton sein doit s'emplir de vie Seuls sur ce sol, les iris au ciel A lire le poème qui s'écrit On attendra plus la dune plus le fiel
Puisqu'il faut que notre bougie se peigne Aux souvenirs des cris étés de trop Puisqu'il faut que nos bras nous apprennent Qu'on se tienne l'un à l'autre mais pas trop
Tilou
Elle me dit que mes guerres sont des fleurs fanées et qu'il reste une terre pour l'aimer ici bas
Merci Thib de ta lecture... Toujours assez précise... C'est vrai que la transition est étrange, tout comme le poème est ambigu à plusieurs titres en fin de compte...
Merci de ton passage... vraiment,
Amitiés
Tilou
Elle me dit que mes guerres sont des fleurs fanées et qu'il reste une terre pour l'aimer ici bas
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