J'ai franchi le portail d'une autre dimension La pluie éclabousse, en lotion, mes certitudes Cette propultion éjecte des convictions Qui tremblent, sans caution, sous forte magnitude
Rugosité de l'asphalte sous mes pieds nus Le sirop de la rue bat dans mes tempes, dru Cavale, sous déluge, ne fait qu'exciter Pressants, bouillonnants, des projets en quantité
La vie a inoculé un goût de ferraille En morse, m'adresse de quitter le sérail De mon passé morcelé, tirer le meilleur
Et que l'allégresse tempête dans mes veines Ma fringale : la corne d'abondance pleine Primesautière, je me hâte tout à mon aise
La rugosité de l'asphalte sous mes pieds nus Le sirop de la rue, bat dans mes tempes, dru Ma cavale, sous le déluge ne fait qu'excités Pressants, bouillonnants, des projets en quantité
mes mots viennent de l'encre de mes souvenirs et quotidien
J'espère que nos souhaits s' exauceront. Ca tombe bien car ici il pleut comme pas possible. Espérons que la graine germe et produise des fleurs, des fruits et de l'amour.
Merci bien pour tes encouragements, il me font très plaisir, Catherine
Des projets qui se réaliseront, je l'espère avec toi de tout mon coeur Ah ! Ce ROGER il nous donne souvent de bonnes trouvailles, de bons sujets. J'ai apprécié ton poème, pourtant la pluie ici, on l'attend. Bises amicales ODE 31 - 17
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