Einstein a déclaré : «les générations futures auront du mal à croire qu'un tel homme de chair et de sang a réellement existé »
Protège tes enfants au sacré de ton eau Toi ! L’Inde des croyants, toi qui fus Son berceau Je changerai en moi ce qui gène en ce monde Quand violence est loi de l’animal immonde. Lorsque je dis Ton nom, Vois ! Ma gorge se noue, La haine est abandon des hommes à genoux. Toi, le Marchand de paix, Père de nation L’amour ne meurt jamais il « vit » Ton action.
Tu nais un jour d’automne au signe d’altruistes Où Ta mère fredonne en valeurs hindouistes, D’autres religions T’offrent la tolérance Pour but qu’en régions trône l’indépendance Ta terre écartelée aux sangs de ses sillons Ne sait pas T’oublier, Toi ! Qui portais haillons Sur la route du temps et malgré leur défaut, Protège Tes enfants au sacré de Ton eau.
Mariage à douze ans, ne pouvant qu’un : « amen » Tu T’indignas longtemps de si précoce hymen La Bhagavad-Gita influença Ta quête Autant que le Bouddha, Jésus ou Mahomet. À Londres retranché Tu devins avocat Acceptes de trancher entre hindous et bourgeois. En ton cœur flamboyant Il y puisait le mot Toi ! L’Inde des croyants, toi qui fus Son berceau.
Puis l’Afrique du sud pressent naître Ta voie Puisque la négritude enlève toute loi. Quant à la trahison pour Ton déséquilibre : Garde t’on en prison le plus bel esprit libre ? De première victoire au goût du non-combat Indiens liés aux noirs raflent le même droit. « Je ne veux pas de rois mais la Terre plus ronde, Je changerai en moi ce qui gène en ce monde »
Tenant l’abrogation de préjugé racial Tu prends la direction de Ton pays natal, Vis en communauté dans le sein d’un ashram La vie en liberté pour le repos de l’âme… Les Travailleurs en grève ont en Toi leur seul lien Aux abords de ce rêve où ton aura soutient Mais un jour les soldats tirèrent à la ronde ; Quand violence est loi de l’animal immonde.
Et puisque l’homme chute ; en son propre sang, flotte Tu transformes Ta lutte : entames boycott Encore emprisonné Ton mouvement halète Mais prend t’on sa pensée à l’âme si complète ? Un simple mot de Toi, l’Inde s’immobilise Sans arme que Ta voix Tu sais stopper la crise. J’ai ma religion : je T’aime plus que tout Lorsque je dis Ton nom, Vois ! Ma gorge se noue.
« Enfants de Dieu » ; parias, accéderont aux temples Alors Tu marcheras en offrant un exemple, Du sel contre le vil mais pour finir en taule, Sédition civile envers le monopole. Tu voulais nous servir sans confort personnel Non pas Te garantir une place au soleil, Tu offres le pardon, plantes l’amour partout La haine est abandon des hommes à genoux.
Si prisé en Europe en obstiné sans faille De gérance myope effondres la muraille Contre les dissensions Tu opposes l’ascèse Nulle reddition ; non-violence est Ta thèse. Quand s’éteint Ta compagne au nu de Ta présence… Tu croupis dans Ton bagne au songe indépendance. En mon cœur désormais je sais l’Opinion Toi, le Marchand de paix, Père de nation.
Musulmans et Hindous en armes se déchirent Et l’Homme le plus doux n’empêchera le pire : L’inde dans sa dérive autonome et si folle… Cinquième tentative et puis Tu gis au sol La veille notre « Héros » savait mort imminente. « Hé Ram » ultimes mots au Dieu qui représente : Droiture, humilité, courage, abnégation, L’amour ne meurt jamais il « vit » Ton action.
L’amour ne meurt jamais il « vit » Ton action Toi, le Marchand de paix, Père de nation, La haine est abandon des hommes à genoux Lorsque je dis Ton nom, Vois ! Ma gorge se noue. Quand violence est loi de l’animal immonde Je changerai en moi ce qui gène en ce monde. Toi ! L’Inde des croyants, toi qui fus Son berceau Protège tes enfants au sacré de ton eau.
Je m'agenouille, j'applaudis, je tire mon chapeau, j'embrasse le sol.
Bravo.
Bravo pour ce poème magnifique....un hommage a cet homme........ Quand je dis beau, je pense magnifique, alors si je te dis magnifique... penses ce que tu veux..
Merci pour cette lecture.
Camille.
Non. Et non. Jamais. Libre. Oui! Toujours. Alors non d'avance. Gardez vos chaînes dorés, j'ai mes tempêtes...
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