Sublime apparition, belle et envoûtante Elle s'est imposée là, je n'avais plus le choix j'oublierai tes ponts et tes rues que j'arpente Adieu Paris, adieu pour la dernière fois
Ce n'est rien qu'un vol dans les couloirs du métro Ce n'est pas de mon fait mais celui de la lune La ville crée des folies bien plus qu'il n'en faut Je suis las d'encenser l'autel de la fortune
Elle parle de mon îlot, tout mon être est en pause sur ce paradis en mer juste pour Je et Moi Devant elle je me dis qu'ici je nécrose et brûle de revoir mes rochers et mes bois
Dans ma chambre, drogué, mon cerveau est en panne Avalé la pilule, on ne m'en donne qu'une Devant l'affiche volée, je retourne à Ste-Anne Où tout me satisfait où rien ne m'importune.
A Sainte-Anne.
Sainte-Anne est aussi une ville de la Martinique.
Glose sur un quatrain de François Maynard de Adieu Paris
VENUSIA : merci de ta visite sous ce poème. J'ai bien lu les recommandations de poètes avertis sur les erreurs à ne pas commettre, mais je n'ai pas tout intégré pour ne pas dire que je n'ai pas tout compris. Peut-être que j'écrirai un autre poème en essayant de m'appliquer. Le problème c'est que je n'ai pas assez de temps. Encore merci et à bientôt.
Merci Ballandine de ta visite sous ce poème. Dans les grandes villes, je pense que l'anonymat offre une certaine liberté. Et les folies de tous genres se précipitent dessus, sur cette liberté offerte ; dedans il y a de la place pour tout le monde. Pour l'enfer et le paradis aussi. A bientôt !
Tous les textes hébergés par La
Passion des Poèmes sont protégés par les lois
de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités
internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher
ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation
de l'auteur du texte en question.