Je leur donnerai tous les détails de ton visage, De la sincérité de tes yeux, à la douceur de ton sourire. Sans oublier de décrire, Ces rides que tu n’aimais pas, qui parlaient pourtant de toi avec leur propre langage.
J’aurais dû te dire, Que j’aimais chacune d’entre elles, Car façonnées de tes larmes, mais surtout de tes rires, Elles témoignaient des jours qui défilaient, de ces quelques années, de la vie… parfois cruelle.
Je leur dirai la manière dont tu as réveillé mon cœur. Quand il dansait de bonheur, jusqu’à tressaillir de terreur. Lorsque je te tenais dans mes bras, Ma respiration calée sur la tienne, et que seule la mienne continuera…
Tu es parti sans mon accord, Tu n’as d’ailleurs pas donné le tien. Aujourd’hui entends-tu tous leurs remords De ne pas avoir eu le temps de te rencontrer, de ne pas avoir pu partager ton chemin ?
N’oublie pas de leur dire là-haut, De me garder une place près de toi, mon alter ego. D’ici là en bas, je continuerai de te faire vivre près de moi, En ne cessant de parler de toi.
Merci de ton passage et de tes mots déposés sous les miens.
Yvon
Je suis flattée qu'un aussi bon poète s'arrête sur mes écrits, et marque son passage. Merci.
Vitalic
Chut. Tu ne peux imaginer ce que lui et moi nous racontons. Surtout quand je vois ce que tu écris sur les poèmes parlant de mort dans cet éphémère, que ce soit dans le tien ou en commentaire. Mais merci tout de même de ton passage.
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