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LPDP :: Théâtre & Scénario :: Surprise-surprises - Acte I scène 1 vertical_align_bottom arrow_forward_ios

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Audrey Deroze


Mais tant que je te plais Que m'importe le temps ?
   
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  Publié: 14 mars 2020 à 08:57
Modifié:  6 jan 2022 à 07:49 par Audrey Deroze
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Cette pièce a été pensée par un duo modeste et talentueux : Adamantine et moi-même, l'une étant le cerveau, l'autre la plume (ou l'inverse).
Par les temps qui courent, il nous a semblé nécessaire, voire vital, de rire (dans son coude évidemment) aussi voici le début d'une pure comédie de boulevards : la distribution sera celle de votre imagination, je vois, moi, pour jouer l'héroïne, un mélange de Maria Pacôme et de Jacqueline Maillan. Les acteurs joueront un peu appuyé, les spectateurs, des cars entiers de retraités, seront bon public. Les propos seront toujours borderline, les blagues lourdes, les rebondissements improbables.
Les décors seront de Roger Hart et les costumes de Donald Calwell.

Les 3 coups résonnent. Les conversations du public s'éteignent, le lourd rideau de velours rouge et or monte lentement et les lumières s'éteignent.

Personnages principaux :

Liliane, 55 ans, divorcée, artiste peintre. Dynamique, extravertie, sexuellement libérée depuis peu.

Idriss, 30 ans, d’origine sénégalaise, informaticien. Amant discret et récent de Liliane, il est également collègue de travail de Baptiste, le fils aîné de Liliane (mais Liliane l’ignore).

Carole, 40 ans, libraire. Meilleure amie et confidente et complice de Liliane.

Baptiste, 28 ans, fils de Liliane, web designer, en couple avec Sofia.

Jade, 24 ans, fille de Liliane, étudiante en sociologie.

Thomas, 16 ans, fils cadet de Liliane, lycéen.

Sofia, en couple avec Baptiste, styliste de mode.

Brigitte, 50 ans, voisine et amie de Liliane, divorcée

Mady, 40 ans, voisine et amie de Liliane, célibataire

Karl Da Silva, 27 ans, professeur de politologie à la fac, anarchiste, gay

Thierry, invité

Catherine, femme de Thierry, invitée

Robert, invité

Flore, femme de Robert, invitée

Autres personnages (joués par les seconds rôles précédemment cités, mais grimés)

Couple de voisins retraités

Policiers


Décor

Le grand vestibule d’un atelier d’artiste parisien :
Décoration luxueuse et bohème, hauteur sous plafond, moulures. Peu de meubles, un porte-manteaux, un canapé Chesterfield usé, des tableaux abstraits aux murs et au sol, des statuettes disséminées çà et là.

Trois portes au fond de la scène :
Au centre, l’entrée de l’appartement.
À gauche, une porte conduisant à un escalier vers la chambre.
À droite, un panneau de verrière aux vitres dépolies et sa porte donnant sur ce qu’on imagine être l’atelier, translucide elle aussi.
Toutes les scène de danse ne seront visibles qu’en silhouettes indistinctes et la musique assourdie.


Acte I

Scène 1

La salle est plongée dans l’obscurité totale, le rire étouffé d'une femme, des cliquetis de clés. On entend jouer la serrure, la porte s’ouvre sur un palier sombre et on aperçoit, en clair-obscur, un couple : la femme devant, l’homme derrière, remontant sa jupe.

Liliane (gloussant) : — Hi, hi, hi, Idriiiiis arrête ! les voisins pourraient nous voir, enfin !

Idriss : — Si ils voient ce que je vois, ça leur fera un joli spectacle, à tes voisins, hé hé ! Ça les changera du téléfilm !

Soudain toutes les lumières s’allument. 
Une dizaine de personnes sont là, debout dans la pièce.

Les invités, en cœur : — Sur-prise !!! (ils chantent) Joy-eux an-ni-ver-saire Liliane !

Liliane est perdue, la jupe remontée en haut des cuisses, laissant voir ses bas noirs

Liliane : — Mais c’est pas mon anniversaire !

Derrière elle, toujours sur le palier obscur, Idriss fait un pas ou deux en arrière.
Carole, Mady et Brigitte s’approchent, Carole lui tend une flûte de champagne.

Carole : — Oui, justement, c’est ça qui est drôle, on a choisi cette date pour que tu ne te doutes de rien !

Liliane, rabaissant discrètement sa jupe : — Ha ben oui, là, c’est sûr, je pouvais pas m’en douter ! Mon anniversaire c’était il y a trois mois !

Jade, offrant un superbe bouquet à sa mère : — Coucou mamouchka ! On t’a bien eue hein !
(plus bas, à sa mère en désignant Idriss) Il y a un monsieur sur le palier…

Liliane : — Ha heu, oui, c’est le monsieur… du chauffage ! Entrez, entrez-donc monsieur ! Figurez-vous qu’on me fête mon anniversaire… Si je m’attendais à ça !

Idriss, furieux, tout bas : — Et moi donc…

Liliane : — Excusez-moi monsieur heu… Merci de vous être déplacé ! Cette chaudière nous joue des tours ! Vous prendrez bien un verre ?
(à tous) Ho mes amis, mes amis, vous êtes… vous êtes… vous êtes… très nombreux, dites donc ! Mais qui je vois là ? Ho il faut que je vous embrasse tous ! Ça alors ! Mais qui a eu cette idée… cette idée… Mais c’est vraiment une idée…

Idriss, tout bas, dans le brouhaha général : — À la con !

Brigitte et Mady : — C’est nous tous ! Comme on ne t’a pas fêté dignement ton anniversaire, avec les grèves, on te le fête ce soir !

Thierry : — Ça te fait quel âge déjà ?

Catherine : — Voyons, Thierry, ça ne se demande pas, enfin ! Quel boulet ! Tu sais bien que Liliane a connu le téléphone à fil !

Liliane (riant, embrassant tous les invités un par un) : — Merci Catherine, mais pas les fiacres quand même ! Ho là là, je suis émue aux larmes ! Et ces fleurs superbes ! (elle est encombrée du bouquet). Mais tu est là aussi Flore ? Tu as fait le voyage juste pour moi ?

Flore : — Presque, enfin, pour les soldes aussi !

Roger : — Hé hé hé ma belle, tu aurais vu ta tête quand on allumé la lumière !

Flore : — Il me semble, moi, que c’est pas sa tête que tu as reluqué !

Liliane : — Ha ha ha ! Cette jupe crayon ! Elle est taquine, elle n’arrête pas de remonter dans les ascenseurs ! Enfin, je veux dire : dans les escaliers. Je vais aller me changer, je serai plus à l’aise…

Jade à voix basse : — Qu’est-ce que je fais du monsieur du chauffage ? Je lui ai servi une coupe, est-ce que je dois lui montrer la chaudière ?

Carole, soudain, très fort : — Mais non, mais non, voyons ! Il n’est pas chauffagiste (encore que…) C’est moi, qui l’ai invité !
(à Idriss, très fort) : — Ho mon chéri tu as pu te libérer, pour finir ! 
Et, bien sûr tu es en retard ! J’avais dit 20 heures. C’est ce qu’on appelle la ponctualité africaine !
(Carole embrasse Idriss sur la bouche)
— Les amis je vous présente Idriss… Bakoné, mon… mon chéri !

Liliane (choquée) : — Ha bon ?

Carole : — Hé oui ! Surprise ! Je tenais à te le présenter !

Liliane : — Et moi qui l’ai pris pour le réparateur de chaudière ! Quelle bécasse je fais ! Quelle sotte !

Robert : — Tu connais des chauffagistes qui se déplacent, un samedi soir à 20 heures, en costume cravate ? Donne moi le tuyau ! Ha ha ! chauffage - tuyau !

Liliane : — Toujours cet humour tout en finesse mon cher Robert !

Robert, écroulé de rire : — Oui, elle est bonne celle-là, tiens ! Hé Flore, t’as entendu ma blague ?

Flore, légèrement agacée : — Tordant !

Liliane (toujours avec son bouquet) : — Ho mes fils ! Vous êtes là aussi !! Des bisous !
Ça fait plaisir que vous ayez sacrifié un samedi soir entre potes pour moi ! Mais dis donc, Thomas, tu n’étais pas sensé être chez ton père ce week-end ?

Thomas : — Papa est aux Maldives !

Liliane : — Aux Maldives !? Mais avec quel argent ? Il prétend depuis des mois qu’il est fauché !!

Baptiste : — Ma petite maman, t’inquiète pas, on va faire la fête comme d’habitude, mais chez toi, mes potes vont arriver bientôt. On a apporté du gros son ! Attends un peu que je te fasse entendre mes nouvelles enceintes ! Tu vas voir, ça ramone !

Liliane : — Hou-là ! Mais je t’ai dit que les nouveaux voisins sont très chatouilleux sur le bruit ! Tu les as prévenus au moins ?

Baptiste : — Ah ben non. Thomas devait s’en charger. (S’adressant à Thomas) Tu as prévenu les voisins ?

Thomas : — Ah ben non, tiens.

Baptiste (à sa mère, en confidence) : — Tu sais quoi ? Le « monsieur du chauffage », ben figure-toi, je le connais ! je bosse pour sa boite ! C’est dingue, quand même qu’il sorte avec Carole ! J’aurai jamais cru ça ! Faut être vicieux, quand même, Carole elle est est suuuuuper-vieille !!!

Liliane, vexée : — Super vieille, super vieille, non, elle a quinze ans de moins que moi !
Bon, prend donc ce bouquet et met-le dans l’eau au lieu de dire des âneries. Et puis Carole fait ce qu’elle veut, hein ! C’est ma copine ! Est-ce que je dis du mal de tes potes dégénérés, moi ?
(à la cantonade) Ha ! mes amis, mes amis, mes amis ! Quelle émotion ! Vous êtes tellement adorables ! Moi qui passe tous mes samedis soirs toute seule depuis mon divorce ! Et là, pile poil ce soir… justement ce soir… ce soir précisément… vous me versez mon arriéré d’anniversaire !
Vous auriez pu faire ça il y a une semaine, hein ? Mais non, c’est justement ce soir que vous avez choisi !
C’est simple, j’en pleurerais…
Bon, où est Carole ? Elle va m’aider à choisir ma robe ! Carole ! Carole !
Ha te voilà ! (Carole est collée à Idriss) vraiment je suis désolée monsieur… monsieur ?… Excusez-moi j’ai pas mémorisé votre nom, je suis tellement chamboulée !

Idriss (froidement) : — Idriss Bakoné, enchanté madame !

Liliane : — (à part) Hé bien monsieur Bakoné… Idriss, si je puis me permettre, je vais vous emprunter Carole un moment, elle va m’aider à choisir ma robe, je suis boudinée dans cette fichue jupe !

Carole : — Un peu, c’est vrai. Tu aurais dû prendre la taille au dessus, je pense.
Bon, chéri, je t’abandonne cinq minutes, tu ne m’en veux pas ? Fais connaissance avec tout le monde. Un bisous pour te consoler ? (elle l’embrasse à pleine bouche)

Liliane : — Il n’y a pas à dire, ça fait du bien d’avoir des copines… Bon, allez, cougar, suis-moi !

Elles disparaissent toutes les deux derrière la porte, à gauche du décor.


Par Aude Doiderose et Adamantine

  L'hiver faisait la rue mouillée Dans l'obscurité bleu marine O comme j'adorais mordiller Ta lèvre comme une mandarine
La Brune Colombe


Au jour du jugement dernier, la plume du poète pèsera plus lourd que l'épée du guerrier.
   
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  Publié: 14 mars 2020 à 09:30
Modifié:  14 mars 2020 à 09:31 par La Brune Colombe
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Vous m’avez redonné le sourire !


Merci les filles !




La Brune Colombe

 
Audrey Deroze


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  Publié: 14 mars 2020 à 10:29 Citer vertical_align_bottom

Citation de La Brune Colombe




Vous m’avez redonné le sourire !


Merci les filles !




La Brune Colombe




Ha les vertus hilarantes du théâtre de boulevard !
La scène 2 est en cours...

J'ignore absolument où on va...

  L'hiver faisait la rue mouillée Dans l'obscurité bleu marine O comme j'adorais mordiller Ta lèvre comme une mandarine
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  Publié: 14 mars 2020 à 10:50 Citer vertical_align_bottom

Mais on y va...

 
Galatea belga


Mon rêve est la réalité banale d'un autre-Galatea-
   
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  Publié: 14 mars 2020 à 11:48 Citer vertical_align_bottom


C'est du vraisemblant, du...normal, j'ose dire
Ciao, on se Couronne comme on peut !

  Si visi amari, ama.Le Prince ...oh le Prince...
Audrey Deroze


Mais tant que je te plais Que m'importe le temps ?
   
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  Publié: 14 mars 2020 à 12:35 Citer vertical_align_bottom

Citation de Galatea belga

C'est du vraisemblant, du...normal, j'ose dire
Ciao, on se Couronne comme on peut !



Ha mais ce n'est qu'un début, ça va se corser comme on dit à Bastia.

Adamantine et moi on se prend pour la Reine des Neiges !

  L'hiver faisait la rue mouillée Dans l'obscurité bleu marine O comme j'adorais mordiller Ta lèvre comme une mandarine
SHElene


Il y a un phoque dans ma piscine
   
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  Publié: 14 mars 2020 à 15:14 Citer vertical_align_bottom

et bien en voilà une idée qu'elle est bonne!
Merci pour cette distraction à domicile, j'attends la suite avec impatience

La reine des neiges? … et Olaf c'est qui?

Bises les filles

  SHElene
La Brune Colombe


Au jour du jugement dernier, la plume du poète pèsera plus lourd que l'épée du guerrier.
   
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  Publié: 14 mars 2020 à 20:33 Citer vertical_align_bottom

Citation de Adamantine
Mais on y va...



Et bien allez-y...je vous suis

 
Audrey Deroze


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  Publié: 15 mars 2020 à 11:17 Citer vertical_align_bottom

Citation de La Brune Colombe

Citation de Adamantine
Mais on y va...



Et bien allez-y...je vous suis



Merci La Brune Colombe, la scène 2 est en ligne.

  L'hiver faisait la rue mouillée Dans l'obscurité bleu marine O comme j'adorais mordiller Ta lèvre comme une mandarine
R.R Cet utilisateur est un membre privilège


Cambre d'Aze, montagne de mon coeur... Mon éternelle muse !
   
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  Publié: 15 mars 2020 à 17:41 Citer vertical_align_bottom

Bonsoir à toutes deux

Pistonnée que je suis, pour le prix d'une j'ai eu les deux (scènes, bien sûr ! ) aujourd'hui ! Pas mal, pas mal,même TB... je m'attends... à tout en fait et surtout maintenant, j'attends avec impatience la suite !

Merci, merci pour cette bouffée de bonne humeur



Mawr

  Les mots sont à la pensée ce que l'eau est à la terre: la vie!
Audrey Deroze


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  Publié: 16 mars 2020 à 08:34 Citer vertical_align_bottom

Citation de Mawringhe
Bonsoir à toutes deux

Pistonnée que je suis, pour le prix d'une j'ai eu les deux (scènes, bien sûr ! ) aujourd'hui ! Pas mal, pas mal,même TB... je m'attends... à tout en fait et surtout maintenant, j'attends avec impatience la suite !

Merci, merci pour cette bouffée de bonne humeur



Mawr



Merci Mawringhe, les théâtres étant fermés, ouvrons celui de l'imagination.
À très bientôt sous nos lignes à haute tension. Car, attention, Adamantine et moi sommes des auteurs… dramatiques !

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Pichardin


Rien n’est impossible à l’homme surtout s’il a décidé de ne rien faire
   
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Il y a 13 minutes
  Publié: 26 mars 2020 à 02:30 Citer vertical_align_bottom

Bonjour Aude,
c'est un très bon début, je vais lire la suite
Amicalement
Pichardin

  Pichardin
Audrey Deroze


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  Publié: 26 mars 2020 à 06:06 Citer vertical_align_bottom

Citation de Pichardin
Bonjour Aude,
c'est un très bon début, je vais lire la suite
Amicalement
Pichardin



Merci. Sois indulgent : on a écrit au fil de la plume et il y a quelques incohérences, des personnages en surnombre, ça mériterait une relecture attentive.
J'attends tes commentaires, critiques si nécessaire.

Bisous

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