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« On finirait par devenir vraiment fou, ou par mourir, si on ne pouvait pas pleurer. »
   

Guid'Ô

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Connexions : 14724
Pages consultées : 300631

Type de compte : Régulier
Membre depuis : 20 août 2005
Dernière connexion : 11 mai 2022 à 05:22

Cet utilisateur est présentement hors ligne.

Informations générales

Nom : Corléone
Sexe : Masculin
Lieu : Languedoc
Profession : à la recherche du temps perdu



Autres informations

Film préféré : Les virtuoses, respiro, Fargo, beignets de tomates vertes, Tsotsie, Frozen river
Style musical préféré : celles que je ressens, Brassens, Brel, Ferré et Ferrat,
Ecrivain ou poète préféré : Aragon, Anaïs Nin, Vous...
Personnage de bande dessiné préféré : Achille Talon, Rahan,




Passe-temps

Bouger et créer le mouvement qui vous emmène...., moto, VTT, tennis, rando, natation, jardinage, ne pas se prendre trop au sérieux et écouter la nature....l'amour aussi.....

Voici ma rrose.
Honorez-la des yeux, du nez, de la langue et des doigts,
Glissez-y votre tige, enfoncez vous jusqu'en son coeur qui est aussi le mien.
Le coeur de ma rrose va te mâcher la tige,
Mais gentiment.
Ne t'étonne pas si tu m'entends dire miam-miam pendant que tu me baises.
N'aie pas peur: tous les hommes savent bien que les femmes sont des fleurs carnivores,
Mais seule celles qui s'ignorent les dévorent vraiment.
Mon bon gros marshmallow, je jute sur toi pour te faire exprimer ta substance mais sois tranquille,
Je suis la corne d'abondance où tu renaîtras et que tu rempliras encore,
Toujours plus gros,
Bonbon-phénix !

Alina REYES
" extrait: le Carnet de RRose".












Son histoire







Et Dieu me fit femme
Avec de longs cheveux,
Les yeux, le nez
Et la bouche de femme,
Avec des rondeurs et des plis
Et de doux creux ;
De l’intérieur il me creusa,
Et fit de moi
L’atelier des êtres humains.

Il tissa délicatement mes nerfs,
Equilibra avec soin
Le nombre de mes hormones,
Composa mon sang
Et me l’injecta
Afin qu’il irrigue
Tout mon corps ;
Ainsi naquirent les idées,
Les rêves et l’instinct.

Il créa le tout
A grands coups de souffle
En sculptant avec amour,
Les mille et une choses
Qui me font femme tous les jours,
Et pour lesquelles avec orgueil,
Je me lève chaque matin
Et bénis mon sexe.

Gioconda Belli
Poétesse nicaraguayenne


A ceux qu’on foule aux pieds

« Etant les ignorants, ils sont les incléments.
Hélas, combien de temps faudra-t-il vous redire
à tous que c’est à vous de les conduire ?
Qu’il fallait leur donner leur part dans la cité.
Que votre aveuglement produit votre cécité.
D’une tutelle avare on recueille les suites.
Et le mal qu’ils vous font, c’est vous qui le leur fîtes.
Vous ne les avez pas guidés, pris par la main,
et renseignés sur l’ombre et sur le vrai chemin.
Vous les avez laissés en proie au labyrinthe.
Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte.
C’est qu’ils n’ont pas senti votre fraternité.
Comment peut-il penser celui qui ne peut vivre ?
Quoi ! Pour que les griefs, pour que les catastrophes, les problèmes,
les angoisses, et les convulsions s’en aillent,
suffit-il que nous les expulsions ? »

Victor Hugo ( juin 1871, lors de la Commune insurrectionnelle de Paris)





mon coeur est parti en miettes


Arrêtez les pendules, coupez le téléphone,
Empêchez le chien d'aboyer pour l'os que je lui donne,
Faites taire les pianos et sans roulement de tambour,
Sortez le cercueil avant la fin du jour.

Que les avions qui hurlent au dehors
Dessinent dans le ciel ces trois mots : Il Est Mort,
Noyez voiles noirs aux colonnes des édifices,
Gantez de noir les mains des agents de police.


Il était mon Nord, mon Sud, Mon Est et mon Ouest,
Ma semaine de travail, mon dimanche de sieste,
Mon midi, mon minuit, ma parole, ma chanson ;
Je croyais que l'Amour jamais ne finirait : j'avais tort.


Que les étoiles se retirent ; qu'on les balaye ;
Démontez la lune et le soleil,
Videz l'océan, et arrachez la forêt ;
Car rien de bon ne peut advenir désormais.

Wystan Hugh Auden




Le Baiser entre les jambes

Tout près du sexe qui fleurit dans les poils roses
Il est pour les amants une place à baisers.
C’est là que rêvent les visages épuisés
Et que la cuisse est tendre aux sourires moroses.

Nul duvet, si léger qu’il soit, n’y vient ravir
L’extase de la lèvre à la peau qui frissonne
Et la chair fraîche y peut lentement assouvir
Le cruel amoureux qu’un charme passionne.

Plus douce que la joue et pure que les seins,
La cuisse est là si blanche au milieu des coussins
Que la bouche y promène en souriant sa grâce,

Et cherche à ranimer sous les baisers voilés
La trace et le parfum des spermes écoulés
Sur le grain d’une peau voluptueuse et grasse.

Pierre Louÿs



Madrigal

Si c’est aimer, Madame, et de jour, et de nuit
Rêver, songer, penser le moyen de vous plaire,
Oublier toute chose, et ne vouloir rien faire
Qu’adorer et servir la beauté qui me nuit :

Si c’est aimer que de suivre un bonheur qui me fuit,
De me perdre moi même et d’être solitaire,
Souffrir beaucoup de mal, beaucoup craindre et me taire,
Pleurer, crier merci, et m’en voir éconduit :

Si c’est aimer que de vivre en vous plus qu’en moi même,
Cacher d’un front joyeux, une langueur extrême,
Sentir au fond de l’âme un combat inégal,
Chaud, froid, comme la fièvre amoureuse me traite :

Honteux, parlant à vous de confesser mon mal !
Si cela est aimer : furieux je vous aime :
Je vous aime et sait bien que mon mal est fatal :
Le cœur le dit assez, mais la langue est muette.

Pierre de Ronsard


S’apprivoiser

C’est à peine si j’ose dire,
L’ais-je entrevue la première ?
Car je ne voyais que son visage en moi,
J’ai senti alors mon cœur frémir,
Plus tard, je lui dirai, je n’ai vu que toi

Séduit par cette douce et belle apparition
Je pris alors le chemin vers ce havre de paix
Le cœur joyeux chantant comme un pinson
En elle j’espérais l’apaisante contrée

Pour lui je voudrais d’amour mourir,
Je deviendrai l’écume d’une rivière,
Sous ses caresses devenir l’apaisement de son effroi,
De notre lien je voudrais tant lui offrir,
Notre amour naissant s’amplifiera tel le lierre,
Et je serai dès lors, sa bannière et son ruban de soie

Nul besoin d’artifices pour la désarmer
Mais être naturel en ces temps bafoués
Simplement l'observer sans tenter de la juger
Pour qu'enfin son visage s'illumine comme jamais.

Le silence est ami et parle de l'intérieur
Il est ce conseiller qui préserve les cœurs,
Faut-il donc se fier aux seuls attraits physiques
Et d'une fleur d'été en perdre l'authentique.

Il est ce pilier de la sagesse,
Qui tempère si divinement mon allégresse,
Celui qui me dit de rester fidèle à moi même,
Pour qu’enfin puisse éclore un « Je t’aime » !







Projets futurs

Etre meilleur, et aimer un peu mieux ceux que j'aime déjà....et bien sur, à la moindre occasion.....plonger dans mes rêves.












L'affinité des chairs

Je ne l'entendais pas, tant je la regardais
Par sa robe entr'ouverte, au loin je me perdais,
Devinant les dessous et brûlé d'ardeurs folles :
Elle se débattait, mais je trouvai ses lèvres !
Ce fut un baiser long comme une éternité
Qui tendit nos deux corps dans l'immobilité
Elle se renversa, râlant sous ma caresse ;
Sa poitrine oppressée et dure de tendresse
Haletait fortement avec de longs sanglots.
Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos ;
Et nos bouches, et nos sens, nos soupirs se mêlèrent
Puis, dans la nuit tranquille où la campagne dort,
Un cri d'amour monta, si terrible et si fort
Que des oiseaux dans l'ombre effarés s'envolèrent
Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers
Un lien nous tenait, l'affinité des chair.

Guy de Maupassant (1887)





Autre


«Une civilisation qui s'avère incapable de résoudre les problèmes que suscite son fonctionnement est une civilisation décadente.»
Aimé Césaire.



Femme nue, femme noire
Vêtue de ta couleur qui est vie,
de ta forme qui est beauté !
J'ai grandi à ton ombre,
la douceur de tes mains bandait mes yeux.
Et voilà qu'au cœur de l'Été et de Midi, je te découvre,
Terre promise, du haut d'un haut col calciné
Et ta beauté me foudroie en plein cœur,
comme l'éclair d'un aigle.

Femme nue, femme obscure
Fruit mûr à la chair ferme,
sombres extases du vin noir,
bouche qui fait lyrique ma bouche
Savane aux horizons purs, savane qui frémis
aux caresses ferventes du Vent d'Est
Tamtam sculpté, tamtam tendu qui gronde
sous les doigts du vainqueur
Ta voix grave de contralto
est le chant spirituel de l'Aimée.

Femme nue, femme obscure
Huile que ne ride nul souffle,
huile calme aux flancs de l'athlète,
aux flancs des princes du Mali
Gazelle aux attaches célestes,
les perles sont étoiles sur la nuit de ta peau
Délices des jeux de l'esprit,
les reflets de l'or rouge sur ta peau qui se moire
À l'ombre de ta chevelure, s'éclaire mon angoisse
aux soleils prochains de tes yeux.

Femme nue, femme noire
Je chante ta beauté qui passe,
forme que je fixe dans l'Éternel
Avant que le Destin jaloux ne te réduise en cendres
pour nourrir les racines de la vie.


Léopold Sédar Senghor

L’enfant au cahier…..Sylvie

Un enfant écrivait, dans la nuit, cœur serré,
Par son souffle chauffé, au secret de ses draps,
Un enfant écrivait, sans bruit, tête penchée,
Voleur de liberté, la joue contre son bras.

Dans sa chambre close, la lune facétieuse,
Nimbant de sa clarté les jouets endormis,
Venait prendre des poses de muse amoureuse,
L’enjoignant d’un reflet à croire en l’infini.

Un enfant écrivait, le cœur au bout des doigts,
Confidence au halo d’une lampe de poche,
Un enfant écrivait ses espoirs, son effroi,
Pris dans l’incognito d’une enfance bancroche.

Le silence étoilée couvait toute la scène,
A l’âme endolorie proposant le repos,
Bienveillance nacrée où les heures s’égrènent
Loin des cruels soucis, loin de l’affreux chaos.

Un enfant écrivait, mèche brune en bataille,
Le cœur tout palpitant de violer l’interdit,
Un enfant écrivait la peine qui entaille,
Un désarroi trop grand pour un cœur si petit.

Au regard complice du nocturne univers
La maisonnée enfin semblait s’être apaisée
Les ombres propices venaient souffler des vers
Dans l’âme du gamin comme autant de baisers.

Un enfant écrivait les yeux gonflés de larmes
Cherchant la tendresse sur la page muette
Un enfant écrivait pour chasser le vacarme
Des journées sans caresse où le bonheur s’émiette.

Cet enfant esseulé, cet enfant du mystère
Comme il te ressemblait, il avait ton sourire
Entre ces mots, caché, que tu as su transcrire
Et pour le retrouver, j’ai ton cahier mon père !

Oquatrevents.





Le Poème.

Ce si joli poème écrit d’ors et de rêves
Fils, d’une plume d’âme et de l’encre de lune,
Je le garde pour toi ! Ses lueurs opportunes,
En silence éternel, immergées dans ma sève.

Car ses mots, si divins : « Je ne sais pas les faire ! »
Juste les percevoir sous l’ombre de mon cœur !
Chinoise ou bien portée en fonction de l’humeur
Tu mériterais tant qu’ils quittent ma noosphère !

En besoin : chaque instant, d’un cèdre millénaire,
Pour engendrer les sons allouant ta beauté
À l’harmonie des mots et sans jamais ôter
Les notes de bonheur d’arpège imaginaire.

Entre les éclosions d’émotions indicibles
Et l’épanouissement de la pensée des sens,
Combien faut-il de pieds pour « conter » la jouissance ?
Exprimer le parfait de nos âmes miscibles ?

Ce si joli poème ainsi ne naîtra guère !
Qu’au profond de tes yeux quand les étoiles posent,
Leurs éclats lumineux que ma rime propose,
D’écrire dans les cieux, juste en quittant la terre.

Pascal Badamie









Étirée docilement
Nue ingénue
Je songe à mes desseins
Insensés , masques
Désirs cachés inavoués .

Par la fente de la porte
Je t'observe indolente
Offerte à la caresse d'un regard
Sur chaque parcelle de ta peau



Docilement mes doigts effleurent
Ma chair en exil
De caresses coquines
Courbes et monts
Les secrets de ma chair
En volupté parsemés
Exultent en soupirs
Étouffés

Lentement tu t'ouvres révelant ton secret
Tes doigts s'accordent au chant de ton ventre
Le monde s'est arrété soudain
Je te contemple éblouie par ta lumière


Ma main glisse
Hésitante puis vibrante
Sur la fleur de mon plaisir
Dans le secret
Mon intimité se fait
Ouverte à souhait

Je demeure dans l'ombre celui auquel tu t'offres
Celui qui dans le silence désire
Ce corps écartelé aux quatres coin des soifs
Ouvert dans le pur geste de l'abandon



Aux courbes de mon corps
Éclosent des roses
Aux pétales dor
Le miel au goût sucré
Suave parfumé
Naît de mon intimité
Comme un suc
Vaporeux délicieux


A suivre les méandres de ton corps je me perds
Ton ivresse déverse jusqu'à moi des parfums musqués
Tu m'aspire , tu m'attires, tu m'engloutis
Et je ne veux ,je ne peux que sombrer en toi



Je moffre ainsi
A mes désirs les plus fous
Venus impudique
Appels irrésistibles
De mes sens indécents
Jose enfin une danse
De mes doigts habiles
En mes émois inutiles


J'entends ton chant de siréne qui monte
Prolonge l'ondulation laiteuse de ton corps
Le rythme de marée qui saisit ta chair
Au plus intime de tes replis



Au creux de mes cuisses
Fouineuse et décisive
La contre danse en arabesque
Ose la démence
Ode aux plaisirs
Effleure
Puis glisse
Ma main de tant d artifices
M'offre avec délice

Tu effleures , frôles , glisses , enfonces
Tes doigts sont mille doigts , mille aiguilles de plaisir
Ils découvrent la fêlure du monde
Par ou monte en toi la brulure profonde


A mes rêves illicites
Naissance dune reine
Aux courbes indécentes
Le son de mes soupirs
Se fait échos de mes plaisirs
Dans cette nudité
Charnelle et impudique
Mon corps vibre
Aux doux reflets de mes appels
Eternellement sensuels

Nue tu captes toute la lumière
Tout souffle porté par la nuit
Je retiens mes mains qui voudraient crier
Le désir brulant de ton corps



Un songe un rêve
De jouissance partagée
Unisson de nos corps enlacés
En solitaire
Mais en pensée celée
Je te sais à mes côtés
Je m'offre ainsi
Aux gémissements de mes soupirs

Doucement je pousse la porte
Doucement j'avance vers toi
Doucement je frôle ta peau
Jusqu'à entrer en toi


Souffles chauds
Je m'abandonne
A ma jouissance multiple
Pour qu'un jour
En danse partagée
Tu sois ma destinée
Toi mon désir secret

Auteur oublié

Trou du cul de la Bien-Aimée
Te donnerai-je un nom de fleur
Lorsque ta matière embaumée
Se répand dans ma bouche en cœur
C’est toi, petit, que je préfère,
Mais j’aime aussi que ton voisin
Jute, jute comme un raisin
Afin que je me désaltère.
Ce sont là mes plus chers mignons,
Je leur donne ce qu’ils demandent
Des fruits fourrés et qu’ils me rendent
Tout imprégnés d’exhalaisons,
Gloire à ces deux trous brun et blond.

(Louis de Gonzague Frick)





Sur l'arbre où l'automne s'appuie
Il rêve au caprice de ces rêveries
Au toucher de l'écorce pense à Elle
A son jardin secret rempli d'airelles


Nad







Les fenêtres






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Publi?e : 14 mars 2018 à 06:36
Titre : Jazzy, sensuellement jazzy - 1 commentaire sur cette entrée



Youn Sun Nah



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