Ecrire, jouer, grignoter, regarder les longs métrages animés (ah, The tales of Despereaux, vu le plus récemment!! Sublime!), écouter de la musique fort dans les oreilles (du metal, comme si j'avais 18 ans!!), rêver devant les motos des autres sans me décider à m'en offrir une malgré le permis gros cube en poche)

" Nadine et Stéphane "


Noyés d'embruns étaient tes jolies yeux

Amoureux qui se posaient sur cet anneau

Doré, scintillant, si doux

Irisé de mille étoiles

Noué à ton doigt

En ce jour merveilleux .

**********************

Souriant, radieux, très ému

Toi aussi tu caressais

Ébloui à son doigt

Prévenant, attentionné, aimant

Habillé d'un habit de lumière tu clamais,



" Ange, ma douce, " Ma femme "

Nous sommes unis en ce jour

Ensemble pour le meilleur et pour le pire .


( Je dédie ces petits mots pour mes Amis qui se sont mariés hier !)
Ladysatin
//////////////////////////////////////////////////////////////////////




MALICE

Malice au pays des merveilles
Fête sa vie nouvelle.
Coeur joyeux, tu danses avec la vie,
Coeur en paix, flotte un sentiment d'harmonie,
De confiance, d'amour, tu t'épanouis.

Douce malice prépare son mariage,
Essaye robes et quelques corsages,
Dans son éclat, fraîche et reposée,
Semblable aux autres fleurs de la rosée.

Tu abordes la vie avec sérénité,
Libre de ton choix, tu te sens en sécurité.
Le ciel te fait rêver,
Car tu as la joie d'aimer.

Pour lui tu restes sa fleur d'amour,
IL exprime les sentiments les plus doux,
Dans ta belle et tendre cellule d'amour,
Je sens ton coeur qui bat comme un fleuve fou,
Pour celui que tu attendais depuis toujours.

Comme l'amour te va bien,
Sous le ciel Toulousain,
Il te prend par la main,
Pour t'emmener toujours plus loin.


Je te souhaite douce Malice beaucoup de bonheur
et de douceur dans ta nouvelle vie.

Affectueuses pensées "cheri-bibi"le 27-06-2010.

Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère;
Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père ;
Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait
Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe.
Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,
Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée,
Et mainte page blanche entre ses mains froissée
Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers.
Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts,
Et c'était un esprit avant d'être une femme.
Son regard reflétait la clarté de son âme.
Elle me consultait sur tout à tous moments.
Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants
Passés à raisonner langue, histoire et grammaire,
Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère
Tout près, quelques amis causant au coin du feu !
J'appelais cette vie être content de peu !
Et dire qu'elle est morte! Hélas! que Dieu m'assiste !
Je n'étais jamais gai quand je la sentais triste ;
J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux
Si j'avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux.


... ce poème de Victor Hugo m'a été lu quand j'avais 5 ans, et m'a marquée à jamais. J'ai retenu immédiatement les 7 premiers vers, et n'ai jamais pu les oublier. De ces sept lignes magiques m'est venue l'envie des mots à dire, et à écrire...
Et puis, plus tard, bien plus tard, par le biais d'un jeu sur le net, je me suis lancée dans des petits quatrains de rien du tout, pour rire!
Et puis un ami m'a encouragée, soutenue, admiratif sans que je n'y comprenne rien. C'est lui qui écrivait bien, et ça m'a aiguillonnée.
J'aimerais qu'il vienne ici...