Ne faut-il pas un soupçon d’angoisse pour donner sens à la vie ?
Ultimement, je voudrais qu’être heureux ne sois pas un fardeau, ni un château, ni un bâteau, peut-être plus un gâteau.
L’outrance a toujours le dernier mot.
La petite guerre entre deux âmes qui s’apprivoisent.
J’aspire à ce que mon coeur ne soit plus en feu.