Ils se la pètent et ils reviennent plus fatigués que lorsqu'ils sont partis, bronzés, certes, mais avec une peau cuite à l'extrême, ou si c'est en hiver, par manque d'échauffements, ils se jettent sur les pistes d'un coup et ils se retrouvent avec des béquilles. Je leur laisse la place. Y'en a pléthore de rigolos. Et pour les imprudents, qu'ils ne mettent pas la vie des sauveteurs en danger et qu'ils payent leur façon de faire n'importe quoi. Roulez des mécaniques vacanciers orgueilleux. Bien amicalement ODE 31 - 17
|